Présentée en 2018, la pièce d'Alan Lake Factori(e) oscille en fable et allégorie.
« J’explore en profondeur l’interrelation entre le corps, l’image filmée, l’installation sculpturale et la matière brute », affirme le chorégraphe.
Ayez ici un aperçu des coulisses de cette création :
Vidéo réalisée par Flamant
Partant du célèbre tableau Le Radeau de la Méduse de Théodore Géricault, il propose une vision d’une humanité à la dérive. Une danse physique à fleur de peau comme un rituel païen, bousculée par les images d’une scénographie puissante. « Je me considère comme un symboliste », dit encore Alan Lake. À sa manière, il transforme les cauchemars en allégories. Le cri des méduses est un rêve éveillé, une danse de (sur)vie.